Je crois qu’une explication de texte s’impose pour le titre de cette recette…

Tout d’abord, je profite pour participer de nouveau au concours Cacaomania mais aussi au nouveau thème de la Table Monde :

L’explication donc…
Ma famille est originaire du Poitou (la Vienne et les Deux-Sèvres), ce qui explique peut-être cela. Une partie de la famille de mon homme est en Lorraine. C’est une région que je ne connaissais pas, que j’ai découverte petit à petit. Une des choses qui me fait sourire en Lorraine, c’est que les gens ont la manie de rajouter des « la » ou des « le » devant les prénoms (« le Mathieu » ou « la Véro »…). D’où le titre de cette recette : les tartelettes de LA Mamie Julienne.

Mamie Julienne, c’était la mamie de mon homme. Elle faisait ses gnocchis elle-même, moi qui n’ai jamais eu le courage de m’y mettre… Elle faisait aussi cette tarte au chocolat, mais dans un plat à tarte classique, et elle coupait des parts fines qui faisaient un grand triangle allongé dans l’assiette à dessert. Le secret est le fond de tarte qui surprendra tout le monde, vous verrez…

Préparation : 20 minutes
Attente : 5 heures
Cuisson : 10 minutes

Pour 10 personnes :

 

  • 300 g de cookies
  • 100 g de beurre
  • 40 g de sucre
  • 200 g de Pralinoise
  • 100 g de chocolat noir 70%
  • 25 cl de crème liquide

1. Au robot, mixer les cookies. Dans un saladier, ajouter aux cookies le beurre et le sucre, et bien malaxer. Mettre au réfrigérateur pendant environ 1 heure.

2. Sortir la pâte et l’utiliser pour foncer des moules à tartelettes. Remettre au réfrigérateur pendant 1 heure.

3. Faire fondre au bain-marie le chocolat et la Pralinoise. Puis ajouter la crème liquide et bien mélanger afin d’obtenir une crème bien lisse.

4. Sortir les tartelettes du réfrigérateur et les remplir du mélange chocolat-praliné.

5. Remettre au frais pendant au minimum 3 heures. Puis servir bien froid.

 

Remarque : La recette peut également se faire dans un moule à tarte classique. Il vaut mieux servir de petites parts pour éviter que ce soit écoeurant.

 

 

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